ICI tout va bien

Pour ce dernier numéro de l’année, ITVB rend compte de récits qui par leur pouvoir à imaginer, relier, s’émerveiller ouvrent de nouveaux horizons.
Tous, sans oublier les réalités économiques, ont fait le pas de côté qui donne à leur projet une dimension sociale, solidaire, humaine ou écologique.
Ainsi, quand ils parlent d’habitat, ils le relient à la prise de pouvoir du citoyen ; quand le projet aborde la santé, ils imaginent un lieu tourné vers la prévention et l’ouverture, lorsqu’elles parlent de culture, celle-ci est reliée à une ambition sociale et écologique. Quand la lutte s’avère utile, elles la pensent avec émerveillement en chansons…
Pour chacune, chacun, l’envie de cultiver l’émerveillement est là, indispensable aujourd’hui, rejoignant la pensée de l’écrivaine Belinda Cannone, qui dans son interview ci-dessous, confie : « … être disposé à éprouver l’émerveillement, cela veut dire regarder, se rendre présent au monde. Si on est dans cette disposition intérieure et si on va à peu près bien, car le malheur ne nous rend pas attentif à l’extérieur, alors tout à coup l’oreille ou l’œil capte une lumière qui tombe sur un mur et ce qui est banal devient autre…»
Bonne lecture. Bonnes fêtes.


Sarrant | 32

Les contes et autres histoires enfantines font du loup le grand méchant … Dans cette « fable » où son rôle est primordial, il apparaît ni bon ni mauvais mais utile à l’équilibre de l’écosystème de l’île. Inspiré d’une histoire vraie, le récit aux allures de documentaire, fera à coup sûr changer l’imaginaire du loup auprès des jeunes et moins jeunes lecteurs.

Comme prévu, ITVB revient après une pause de trois mois née d’une volonté d’évoluer, de se questionner en se rapprochant pour cela des lecteurs qui ont joué le jeu et permis ainsi d’enrichir la réflexion* souhaitée.  

Évoluer, ce n’est pas tout changer comme vous allez le lire, c’est repenser au positionnement de la Lettre qui avait démarré en 2017, c’est tendre l’oreille à ce qui nous entoure, c’est ouvrir toujours et encore nos horizons, laisser aller notre envie de faire avec, de vous donner envie d’aller sur le site, mais c’est aussi se parer de quelques atours, de couleurs, afin de se mettre ainsi sur son 31. (Tiens ! c’est  le numéro de mars)

En partant en quête pour ce numéro à la rencontre d’hommes et de femmes, de collectifs, de collectivités, l’évidence était là : choix de vie, envie de faire autrement, énergie à transformer, à porter la voix, à renouer avec le vivant. ITVB se devait d’apporter la même intensité d’éclairage à travers la mise en avant de ces récits, elle le fait en créant de nouvelles rubriques, en s’interrogeant sur un demain qui se voudrait être aujourd’hui, en se rapprochant de partenaires positifs « des ondes » …
Vous informer bien sûr et donner également les clés à ceux et celles qui veulent agir, car vous l’avez souhaité aussi en tant que lecteurs.
Le printemps des poètes est là, avec lui Henri Gougaud et les mots empruntés à son dernier ouvrage : « Le but n’est pas d’être meilleur, souvenez-vous bien de cela. Il est de devenir vivant, de plus en plus intensément. » Bonne lecture. Vos retours seront les bienvenus.

Résumé compte rendu questionnaire, cliquer ici.


 

Nailloux | 31

Qu’est ce qui peut faire « basculer » un cargo de marchandises ? La météo ? Un accident ? Non, une baignade en mer autorisée par sa commandante. Ce moment transgressif, en suspens, va faire surgir un avant et un après pour chaque membre de l’équipage. Et si cette irruption du mystère dans la routine de la vie à bord d’un cargo offrait à chacun la possibilité de trouver sa place sans donner place au pouvoir.

REDACTION

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