Agriculture, alimentation, réseaux

  • Comment favoriser des installations agricoles bio sur un territoire ?

    Coursac… | 24

    Tester son métier de paysan avant de s’installer, dans un cadre juridique et matériel sécurisé à travers des lieux tests mis à disposition par des agriculteurs ou des collectivités locales. La proposition est calquée sur le fonctionnement des couveuses et mise en place par des structures agricoles départementales partenaires, réunies en association. Les bonnes raisons de passer par un espace test… 

  • Un site sur le monde agricole sans sujet tabou pour faire naître le dialogue

    Vendoire 24

    Vous avez entre 20 et 40 ans, vous voulez avoir une nouvelle vision du monde agricole, le découvrir sur tous les continents, prendre connaissance de points de vue économiques, sociaux, culturels ; voir que la femme y tient pleinement sa place; le tout sans tabou… Rendez vous sur le site web Agrophilia pour découvrir un site qui ne parle pas de technique puisque c'est déjà fait ailleurs.

  • " A travers l’épicerie associative, le projet est d’être un acteur de lien social ouvert à tous "

    De l’idée au projet, ils seront  prochainement dans la concrétisation de celui-ci avec l’ouverture d’une épicerie collaborative. Certes, celle-ci est reportée au regard de la crise sanitaire, mais les initiateurs, soit une dizaine de personnes, travaillent à distance en commissions, finalisent l’outil de gestion, la liste de leurs producteurs et améliorent leur communication avec la même envie : être demain un acteur de lien social.
    Buros - 64

  • "Pourquoi produire des fleurs bio, cela ne se mange pas ?"

    L’Isle-de-Noé | 32

    Ouvrir une jardinerie bio en prenant en compte tous les paramètres de son activité ; des serres non chauffées au déplacement sur les marchés en passant par la production de plants de fleurs avec la réintroduction de variétés oubliées comme le bleuet, si nécessaire en matière de pollinisation ; le défi est posé dans la bonne humeur et l’envie de répondre à une clientèle qui évolue.

  • «  Point commun avec nous, ce sont des agriculteurs avec une philosophie militante et ils cultivent l’entraide en tant qu’acteurs du territoire »

    St Sever/ Larbey  - 40

    …C’est la carte blanche d’Anne-Laure Verges –responsable de la vie sociale- au Café Culturel associatif Boissec, lieu situé en pleine ruralité, au cœur de la Chalosse, dans une commune de 250 habitants. On y pénètre par différentes activités comme l’ont fait Clément, éleveur et Marie, fromagère, tous deux bénévoles aussi dans ce lieu.

  • « Si vous cherchez une épicière madame le maire, et bien moi, je cherche une épicerie »

    Gardères 65

    Quand dans un petit village de cinq cents habitants, Madame le maire lance un appel dans le bulletin municipal annuel pour un projet de commerce multiservice et qu’une enfant du pays répond : « si vous cherchez une épicière madame le maire, et bien moi je cherche une épicerie »… Reste  la mise en place.

  • « Un agriculteur ? Mon voisin, je vais à sa ferme chercher le lait tous les matins… Et s’il n’est pas là, je prends le lait dans le réfrigérateur et je laisse l’argent »

    Caubios-Loos  - 64


    … C’est la carte blanche de David Morazin, comédien et metteur en scène de la Compagnie théâtrale « Tout droit jusqu’au matin » installée à Sauvagnon, près de Pau.  Comme un appel au partage, leurs spectacles se terminent toujours par : « Et à l’humanité par-dessus tout »… Et si la relation humaine démarrait  avec son voisin, ici agriculteur. 

  • «Il y a aujourd’hui des agriculteurs à l’écoute de la nature qui multiplient les échanges, réfléchissent sur l’avenir de notre société… »

     Vic-en-Bigorre  / St-Lézer - 65

    … C’est la carte blanche de Nathalie Curiel – libraire à Vic-en–Bigorre- partenaire également du salon du livre  organisé sur la commune et qui tout au long de l’année fait  entrer dans sa librairie la discussion, l’échange, les auteurs…
    Sur ce territoire de la Bigorre, sa terre natale, elle est sensible  à ces agriculteurs qui cherchent des solutions, engagent le dialogue afin de mieux faire connaître l’agriculture à l’écoute de  la nature.

  • «La ville et la ruralité ont des choses à se dire… Il faut faire profiter l’autre des richesses de son territoire »

    Toulouse/ St Frajoux - 31

    …C’est la carte blanche de Doni Ravinet - coordinateur salarié et l’un des fondateurs de  l’association Sozhino - Association  implantée depuis dix ans dans un quartier populaire à Toulouse qui a démarré en accompagnant  les artistes locaux émergents, puis a créé un lieu d’art et dernièrement un café associatif. Il propose de découvrir un agriculteur qui voici 3 ans était encore un acteur de la culture. La  ville et la ruralité, un lien à tisser pour dessiner l’avenir… 

  • A 24 ans, elle fait un nouveau choix professionnel pour donner du sens à sa vie

    Ponsan-Soubiran 32

    Après un master Science Po « option communication et gestion évènementielle » en poche, suivie d’une expérience positive dans le secteur culturel de près de 2 ans, Mayalène réoriente sa vie professionnelle. Retour à la ruralité avec  un projet « plein de sens » qui la mènera demain à être productrice de plantes aromatiques et médicinales en bio.

  • A chaque pas se rapprocher de ce qui est important à nos yeux

    Bordeaux | 33

    Le placement de l’épargne dans un Mouvement qui fait « pousser les fermes », c’était un premier pas pour celui qui n’a jamais oublié ses origines familiales.    
    Plus disponible aujourd’hui, il poursuit son engagement en tant que bénévole au sein de l’une des structures régionales.

  • A la cantine choisir la qualité, des produits bio et ne pas gaspiller, c’est possible. Le cuisinier d’un collège bordelais livre ses secrets.

    Agen 47

    Plus de 600 repas sont servis au collège Saint André à Bordeaux chaque jour. En cuisine Thierry Ors ne laisse rien au hasard et résume son défi quotidien : regarder les habitudes de consommation de ses jeunes clients pour adapter la quantité la plus juste dans le but de privilégier la qualité, intégrer au maximum du bio et du local et minimiser le gaspillage.

  • À travers une « solution d’hier », démarches innovantes et liens se mettent en place

    Sentous-Lahitte-Libaros | 65

    En 1998, un agriculteur propose le regroupement de moyens matériels auprès d’agriculteurs de trois communes voisines. La mise en place d’une CUMA, un système coopératif qui a vu le jour en 1945, va entraîner une nouvelle organisation collective, de nouvelles façons de travailler le sol et renforcer les liens entre ses adhérents.

  • Bienfaits et vertus d'un potager urbain ; Suivez-nous, c’est au 4e étage.

    Toulouse 31


    Partout dans le monde et en France également les jardins en ville prennent de la hauteur. Ils s'installent sur les balcons et de plus en plus sur  les toits des bâtiments. A Toulouse, en plein centre-ville, un potager de 500 m² culmine à 15 mètres sur le toit d'une clinique.
    Lieu de détente pour les salariés, il est un apport bio complémentaire pour les cuisiniers de l'établissement. Très vite, il est devenu un lieu de visite pour le quartier et bien plus…

  • Cap sur un paysage agricole du « futur »

    Burosse-Mendousse | 64

    Recréer les prairies et les haies d’autrefois, observer la biodiversité avant d’intervenir ou d’initier des activités agricoles. C’est ainsi que le paysage du futur se met en place dans cet espace où tout a commencé en recherchant la richesse de la faune et de la flore du lieu telle qu’elle existait en 1950. Expérimentation et services qui méritent le détour…

  • Comprendre en toute humilité la logique du monde vivant

    Bouches du Rhône / Landes…

    Transmettre aux éleveurs ce qu’est un animal, identifier ses besoins, comprendre l’interaction entre l’animal et l’éleveur ou autrement dit, apprendre à l’éleveur comment « composer » dans son paysage en ayant pour instruments, l’observation et le bon sens, telle est la proposition à découvrir en compagnie d’une vétérinaire… 

  • Des actions concrètes et du quotidien pour rendre le bio accessible aux personnes précarisées

    Tarbes - 65

    Rendre le bio accessible à un public précarisé à travers des visites de fermes bios, la participation à des ateliers culinaires et la mise en place d’un soutien tarifaire dans les magasins bio, c’est l’objectif  d’acteurs locaux et de partenaires financeurs institutionnels. Démarré voici trois ans, le dispositif s’avère positif.

  • Des agriculteurs bio se regroupent pour fournir des cantines scolaires

    Périgueux 24

    Ils sont maraîchers, éleveurs, arboriculteurs… et ont fait le choix de se regrouper pour fournir les cantines scolaires dans un secteur où la concurrence est de plus en plus rude. Ils mettent en avant qualité, saisonnalité, proximité auprès de leurs interlocuteurs de plus en plus sensibles à ces aspects. Résultats : l’association est passée de 30 à 100 tonnes de production et ne manque pas de projets.

  • Des petites fermes dans une grande ferme comme modèle de production

    Sansan-32

    Comment des professionnels à partir d'une agriculture vertueuse et écologique peuvent-ils nourrir des gens et en vivre décemment ? Depuis 2011, après avoir pris la décision de quitter son bureau d'expert-comptable, un parisien répond à cette interrogation en s'appuyant sur le modèle d'une grande ferme qui abriterait demain plusieurs petites fermes avec l'objectif de mutualiser les expériences et d'y vivre harmonieusement. L'aventure est déjà bien engagée.

  • Du blé à la fabrication de pâtes : l’aventure de l’autonomie

    Cizos 65

    À partir d’un choix de système agricole, issu d’une production bio et de semences anciennes, à laquelle ils ont rajouté une activité de transformation, des agriculteurs aujourd’hui regroupés dans une coopérative ont souhaité retrouver confiance, autonomie et une souveraineté sur un territoire.

REDACTION

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