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Agriculture, alimentation, réseaux

  • Prêts aux débats ? La réponse positive et enjouée d’un marché bio

    Billère | 64

    Un marché bio associatif prolonge son engagement à travers des mini-conférences sur les enjeux climatiques, environnementaux, écologiques mais aussi, avec pour finalité de réfléchir ensemble et nourrir la démocratie… Une formule démarrée voici plus de deux ans fortement appréciée et suivie.

  • Produire plus en bio ? Jouer grouper, impulser une autre image, compter sur des solutions techniques innovantes…

    Téthieu - 40

    Des producteurs bio se regroupent, mutualisant leur savoir-faire et leur outillage sur des terres mises à disposition par l’un d’eux afin de répondre à la demande de plusieurs AMAP.
    Pari réussi qui demande à évoluer pour répondre à une hausse de la demande avec l’envie de donner une autre image du bio et d’aller vers des outils innovants.

  • Qu’est-ce qu’une mare ? Une histoire liée aussi à l’homme…

    Assat | 64

    Dans ce jardin aujourd’hui labellisé « remarquable » où se  côtoient un potager et un verger constitués d’anciennes variétés locales, une douzaine de personnes sont venues dernièrement apprendre à réaliser une mare. La mission du lieu : transmettre le lien entre humain et  monde végétal et la richesse que celui-ci lui apporte. Les visites proposées sont aussi une invitation à respecter notre environnement en comprenant les fortes interactions qui se jouent dans ce quotidien. Observations, connaissances, traditions et croyances locales y sont mises en avant. 

  • Quand formation et embauche de réfugiés répondent à l’activité viticole

    Aire-sur-l’Adour | 40

    Depuis deux ans, des réfugiés sont formés à la viticulture en Madiran,Tursan et Coteaux de Gascogne avec l’objectif d’une embauche. Une opération où tout le monde est gagnant, car le secteur viticole est en manque de bras. Centre d’accueil pour demandeurs d’asile, organisme de formation et employeurs réussissent ici un beau partenariat en voie de pérennisation. Notre guide pour le récit de cette aventure est agriculteur, mais aussi le formateur auprès de ces réfugiés.

  • Quand la transhumance s’ouvre avec pertinence sur un département

    Thézac 47

    Pour répondre à un besoin d’entretien des prairies et aux risques d’incendie sur des parcelles boisées abandonnées proches d’un massif forestier, une commune a fait le choix de la transhumance locale depuis 2 ans. Alors que le retour au pastoralisme s’avère une solution pour la biodiversité, les éleveurs et les propriétaires fonciers, cette pratique inspirée par les éleveurs du Lot reste à pérenniser.  

  • Réintroduire une production agricole urbaine à partir de solutions innovantes

    Castanet-Tolosan | 31

    En créant un outil économique et social innovant autour d’une grande agglomération, une structure d’initiatives citoyennes place l’agriculture au cœur des enjeux de la société. Préservation de terres agricoles, accompagnement à l’installation de paysans, conseil auprès des collectivités dans la transition… De nouvelles formes de travail et de collaboration s’inventent afin de réintroduire une production agricole urbaine et locales.

  • Si la culture du chanvre … m’était à nouveau contée

    Saint-Geours-de-Maremne | 40

    Plante diabolisée, au passé économique glorieux et oublié, toujours malmenée par la législation, le chanvre refait pourtant surface pour offrir ses vertus dans tous ses usages ou presque en tant que plante cultivée, aliment, textile, papier, isolant.  Zoom sur une production avec celui qui a démarré la filière dans les Landes.

  • Un circuit court de distribution en cœur de village initié par des agriculteurs

    Lembeye | 64

    À partir de la demande de clients d’une conserverie locale, les éleveurs propriétaires de la structure décident d’ouvrir un magasin de produits fermiers sur la place d’un village voisin. Leurs objectifs : faciliter l’accès à des produits locaux en privilégiant le circuit court de distribution, faire vivre un territoire et (re)créer du lien avec les consommateurs… Ouvert depuis 3 ans, l’outil commun se veut à l’écoute des consommateurs.

  • Un meunier pas banal et un moulin qui aujourd’hui va « très » vite

    Vézac | 24

    Pensant à sa retraite, un agriculteur achète un moulin, le restaure pour y habiter. Apprenant qu’il serait en état de fonctionner, il se lance dans l’aventure. Le meunier imagine une fabrication de croisière quand, au mois de mars dernier la pénurie  de farine arrive. Le moulin devient alors une affaire de famille pour une clientèle locale.

  • Un projet de maraîchage boosté par l'envie de partager

    Tresses 33

    Un terrain agricole de 7 hectares à une dizaine de km de Bordeaux, un projet de maraîchage bio proche de la ville mêlant coworking agricole, expérimentation, formation et l'enthousiasme produit en permanence par son fondateur… Et la ferme de la Glutamine prend forme.

  • Une boulangerie pétrie au consensus

    Uzeste | 33

    Les habitants d’un village  se regroupent en association puis aujourd’hui en coopérative pour créer une boulangerie. Dans le collectif, certains aiment la baguette blanche, d’autres le pain au levain à la mie dense. Selon le principe du consensus cher au collectif, l‘offre tiendra compte de tous les goûts, le pain pour tous est né.

  • Une expérimentation écologique et sociale au service d’un quartier et au-delà

    Nantes | 44

    L’histoire de ces lieux de vie démarre avec un restaurant de quartier sur une ile urbaine en pleine réhabilitation, au cœur de la cité nantaise. Mais le projet se veut plus ambitieux dans le domaine écologique et social. Se créent alors, un tiers lieu, un deuxième restaurant, puis une ferme maraichère en bio. Une chaine de valeur se met en place où chaque maillon est autonome, complémentaire, solidaire.

  • Une production légumière bio péri-urbaine comme levier de structuration des circuits courts

    Assat, Meillon, Rontignon, Lescar… | 64

    Quand l’approvisionnement maraicher urbain se conjugue avec transition et renouvellement des générations en agriculture… C’est ici une ceinture de couleur verte qui se déroule autour d’une agglomération. Mis en place en 2020, le dispositif a permis la création de 8 exploitations et l’installation de 6 maraîcher(e)s en bio. Si l’aventure s’inscrit dans un processus long, le démarrage est prometteur…

  • Une restauration collective bio, locale et pas plus chère… Possible et essentiel !

    Belvès, Nontron, St Aulay, Neuvic… | 24

    Depuis 2015 le département de la Dordogne s’est engagé à faire évoluer les cantines de ses 35 collèges vers une restauration 100% bio, locale, faite maison avec des produits de saison. La méthode ? Une prise en compte de l‘existant, l’implication de tous - de l’établissement au conseil départemental - sans oublier la formation dédiée aux cuisiniers, à leur équipe et les actions auprès des jeunes scolaires.

REDACTION

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