Biodiversité, environnement

  • "Pourquoi produire des fleurs bio, cela ne se mange pas ?"

    L’Isle-de-Noé | 32

    Ouvrir une jardinerie bio en prenant en compte tous les paramètres de son activité ; des serres non chauffées au déplacement sur les marchés en passant par la production de plants de fleurs avec la réintroduction de variétés oubliées comme le bleuet, si nécessaire en matière de pollinisation ; le défi est posé dans la bonne humeur et l’envie de répondre à une clientèle qui évolue.

  • « Appartenir à un territoire, y intervenir, c’est apprendre à le regarder en permanence … »

    La Sauvetat-de-Savères | 47

    Comment avoir le moins d’impact possible sur l’environnement dans son quotidien ? En 2001, un collectif de citoyens se réunit pour trouver des réponses concrètes. Face à la demande et l’incitation des structures sociales du département, très vite une association se constitue. En 2012, l’association est agréée “espace de vie sociale“. Dernièrement, elle s’est fixée sur une commune pour devenir un lieu de ressource. L’histoire se poursuit…

  • « Ce mouvement porte et sent la vie, j’espère qu’on le ressent dans le film »

    Ménigoute 79

    Cinéaste animalier, son observation porte sur l’animal, le végétal ou les milieux naturels afin de comprendre ce qu’ils racontent de notre société et de notre rapport à la nature. Son dernier documentaire, accueilli avec fort intérêt s’invite dans l’actualité par son thème sur l’eau et son territoire d’observation, le marais Poitevin, désormais le  lieu de vie du réalisateur.Interview de Fabien Mazzocco, réalisateur du documentaire « De l’eau jaillit le feu».  

  • « En s’opposant, on a créé de la valeur pour notre territoire »

    Ossun | 65

    Les habitants d’un village, toutes générations confondues, se mobilisent pour s’opposer à un modèle économique productiviste ne tenant pas compte de leur cadre de vie. Connaissance du territoire, détermination et implication feront la victoire mais aussi la force de cette association qui, après 3 années de lutte, s’est mise en veille mais reste vigilante.

  • « Grandir avec la nature pendant un an, vaste sujet, c’était le pari… »

    Créon | 33

    Comment renouer avec le vivant, tisser ou retisser des liens avec la « nature », retrouver les liens originels de la vie… ?  L’ enquête menée par une journaliste à travers une immersion personnelle et intime, mêlée aux savoirs et à la connaissance des personnes rencontrées permet d’apporter des réponses. Un livre militant pour ressentir, comprendre et démarré une histoire qui pourrait être la « nôtre » demain. Interview…

  • « Il est important de découvrir une espèce d’ailleurs tout près … »

    Buzy | 64

    Une nécessité ressentie voici 34 ans de promouvoir l’éducation à l’environnement en utilisant la nature à des fins de plein épanouissement de la personne. La démarche est simple, locale et pleinement d’actualité. Elle se décline aujourd’hui auprès des scolaires, des centres de loisirs, mais aussi de propositions lors des vacances des jeunes. À découvrir, tout près de chez soi.

  • « La lutte doit être joyeuse, cela aide à avancer »

    Bordères-sur-l’Echez | 65

    Cinq ans de « combat » mené par une association contre un projet de traitement des déchets. Le récit d’une mobilisation locale qui met en avant détermination, force des liens tissés au niveau national, compétences et stratégie des acteurs sur le terrain, sans oublier les moments de fête. Aujourd’hui l’expérience acquise se met au service d’autres combats.

  • « Le citoyen a un pouvoir malgré ce que l’on peut penser »

    Plaisance-du-Touch | 31

    C’est l’histoire d’un « grand projet inutile, d’un méga centre commercial  » comme le nommaient ses opposants, mais aussi de dix-sept années de lutte, de bataille juridique, de ténacité et d’arguments soutenus par des citoyens non rompus à ce type d’exercice. Comment la panoplie de combat d’un collectif s’est-elle mise en place ?

  • « Planter un arbre est un acte fort pour l’avenir… »

    Paris | 75

    Le métier de paysagiste en quelques années a évolué au regard des enjeux écologiques, du réchauffement climatique. Métier aux multiples interactions, les paysagistes sont des concepteurs qui doivent s’adapter aux exigences actuelles, mais aussi envisager leurs créations dans la durée. Rencontre avec une paysagiste, urbaniste.

  • À la recherche de forêts pour décider à nouveau de leur destin

    Abjat-sur-Bandiat | 24

    Au nord de la Dordogne, lors d’une réunion organisée avec des connaissances dans un café, l’un d’entre eux prend la parole, exprime son ras-le-bol, s’interroge sur comment arrêter la coupe des arbres, sauver les forêts et propose : « Je pense qu’en nous regroupant, on peut soustraire des forêts à la logique marchande, on ne possédera pas de forêt, elle sera un bien commun…»

  • À la rencontre des savoirs, pour une itinérance de reconnexion à la nature

    Moustey | 40

    Voyager au rythme de son propre pas, à la rencontre des savoirs, d’hommes et de femmes qui ont pensé, créé, développé un autre rapport avec la nature, un monde écologiquement viable. Le modèle trouve son inspiration dans le compagnonnage et propose des étapes choisies selon ses curiosités. Le maillage est en train de prendre vie, serez vous lieu-hôte ? Marcheur ou sympathisant ?

  • À travers des récits, faire rêver et cheminer les idées

    Marssac-sur-Tarn | 81

    Quand son métier de journaliste ne s’exerce plus dans les conditions de temps et d’investigation nécessaire, que faire ? Du journalisme en restant fidèle à ses valeurs. Le résultat : la création d’un magazine régional au pouvoir oxygénant pour le lecteur à travers le récit de solutions positives d’acteurs locaux.

  • Agir pour la biodiversité, un moyen d’être heureux

    Aubiac, Belin-Beliet | 33

    Calmer une colère, flirter avec l’utopie, trouver et s’impliquer dans une action la plus juste pour soi, échanger sur et pour la nature, signer un véritable pacte sur l’avenir en mettant au cœur de son projet la biodiversité, tel est le parcours d’un citoyen aujourd’hui heureux.

  • Au pays où les abeilles sont heureuses 

    Pont-de-Montvert | 48

    En réalisant un documentaire proche de son village d’enfance, il découvre l’abeille noire et une apiculture proche des pratiques ancestrales. Le réalisateur lâche la caméra et se donne pour mission de sauvegarder l’abeille locale. Retour au pays, apprentissage d’un nouveau métier, création d’une association, d’un conservatoire… au service de cette grande cause.

  • Cap sur un paysage agricole du « futur »

    Burosse-Mendousse | 64

    Recréer les prairies et les haies d’autrefois, observer la biodiversité avant d’intervenir ou d’initier des activités agricoles. C’est ainsi que le paysage du futur se met en place dans cet espace où tout a commencé en recherchant la richesse de la faune et de la flore du lieu telle qu’elle existait en 1950. Expérimentation et services qui méritent le détour…

  • Comment agir plus vite et localement sur les mobilités alternatives rurales ?

    Rodez, Millau, Espalion, Entraygues-sur-Truyère | 12

    Afin de donner envie d’agir plus vite en matière de mobilité rurale, six associations locales vont se regrouper pour réaliser un film construit pour l’essentiel à partir de témoignages d’habitants ayant pensé et organisé leur mobilité du quotidien différemment. Enthousiasme, questionnements, solutions sont à voir et à entendre. Le débat peut ensuite commencer, comme l’invite à le faire les associations portant le film… 

  • Comment cultiver notre connexion à la nature tous les jours et cet été ?

    Artagnan | 65 / Jû-Belloc | 32

    L’une a une formation en arts plastiques, l’autre est ingénieur en agriculture. Leur chemin va se rejoindre  autour de la passion des abeilles. Partant de leur expérience personnelle auprès de ces insectes pollinisateurs, ils vont développer un support pédagogique pour interroger notre rapport à la nature, à la biodiversité, faire évoluer notre regard et également nos pratiques comme on peut l’expérimenter dans les jardins de Jû-Belloc (32) tout l’été.

  • Comment relancer l'activité dans une vallée ? Et si cela démarrait par une expérimentation personnelle et généreuse…

    Bagnères-de-Bigorre, le Hourc - 65

    Ils sont deux aujourd'hui mais l'envie de transmettre leur expérience à partir de la restauration d'une grange foraine perchée à 1100 m d'altitude pourrait vaincre la montagne. En additionnant les techniques ancestrales aux technologies renouvelables, ils nous font découvrir un patrimoine oublié, une manière de bien vivre et l'élaboration d'un projet artistique comme ouverture à l'échange et au dialogue. La visite peut commencer….

  • Concevoir des milieux de vie favorables au vivant

    Pau | 64

    Une autre façon de penser son habitat, de le rénover, d’aménager des espaces publics… et cela à partir de questions simples : Quels acteurs voulons nous être ? Comment réinventer nos relations avec l’ensemble du vivant ? Les réponses sont à portée de mains en se rapprochant de ceux qui les posent afin de bâtir ensemble ce futur.

  • Conjuguer sylviculture douce et production

    Moustey | 40

    Des gestionnaires forestiers du massif landais ont transformé depuis plus de 20 ans leur pratique, conjuguant respect de la biodiversité et production de bois. La méthode repose sur un traitement irrégulier et respectueuse des processus naturels des écosystèmes forestiers. Rencontre avec l’un d’eux…

     

REDACTION

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