ICI tout va bien

Le premier numéro de l’année fait place au débat, à la parole,  à l’échange ;  il nous conduit dans les cafés, un  tiers-lieu, un cinéma, un  marché, un festival et à l’université populaire. Fortement impliqués dans la vie associative pour la plupart, les organisateurs énoncent à la fois un objectif qu’ils disent modeste mais déterminé : échanger, nourrir sa réflexion, se confronter à la pensée d’autrui, partager les opinions, repartir chez soi avec une nouvelle idée, accéder aux savoirs critiques, à l’émancipation politique.
Ceux et celles qui mettent en place ces rencontres, s’appuient parfois sur la philosophie, d’autres sur un documentaire, ou sur un intervenant, spécialiste du sujet, qui va permettre de lancer le débat. Tous font preuve d’inventivité soit dans les lieux choisis, la  démarche tel le débat mouvant, ou l’intitulé du sujet.
À travers ces témoignages,  le besoin  s’érige en nécessité de se retrouver, de se parler, de s’écouter, d’exprimer ses arguments, de s’approprier un discours, une pensée en dehors des messages diffusés par les sphères médiatiques. Et s’il s’agissait tout simplement de faire vivre la démocratie ?


Sarrant | 32

Les contes et autres histoires enfantines font du loup le grand méchant … Dans cette « fable » où son rôle est primordial, il apparaît ni bon ni mauvais mais utile à l’équilibre de l’écosystème de l’île. Inspiré d’une histoire vraie, le récit aux allures de documentaire, fera à coup sûr changer l’imaginaire du loup auprès des jeunes et moins jeunes lecteurs.

Comme prévu, ITVB revient après une pause de trois mois née d’une volonté d’évoluer, de se questionner en se rapprochant pour cela des lecteurs qui ont joué le jeu et permis ainsi d’enrichir la réflexion* souhaitée.  

Évoluer, ce n’est pas tout changer comme vous allez le lire, c’est repenser au positionnement de la Lettre qui avait démarré en 2017, c’est tendre l’oreille à ce qui nous entoure, c’est ouvrir toujours et encore nos horizons, laisser aller notre envie de faire avec, de vous donner envie d’aller sur le site, mais c’est aussi se parer de quelques atours, de couleurs, afin de se mettre ainsi sur son 31. (Tiens ! c’est  le numéro de mars)

En partant en quête pour ce numéro à la rencontre d’hommes et de femmes, de collectifs, de collectivités, l’évidence était là : choix de vie, envie de faire autrement, énergie à transformer, à porter la voix, à renouer avec le vivant. ITVB se devait d’apporter la même intensité d’éclairage à travers la mise en avant de ces récits, elle le fait en créant de nouvelles rubriques, en s’interrogeant sur un demain qui se voudrait être aujourd’hui, en se rapprochant de partenaires positifs « des ondes » …
Vous informer bien sûr et donner également les clés à ceux et celles qui veulent agir, car vous l’avez souhaité aussi en tant que lecteurs.
Le printemps des poètes est là, avec lui Henri Gougaud et les mots empruntés à son dernier ouvrage : « Le but n’est pas d’être meilleur, souvenez-vous bien de cela. Il est de devenir vivant, de plus en plus intensément. » Bonne lecture. Vos retours seront les bienvenus.

Résumé compte rendu questionnaire, cliquer ici.


 

Nailloux | 31

Qu’est ce qui peut faire « basculer » un cargo de marchandises ? La météo ? Un accident ? Non, une baignade en mer autorisée par sa commandante. Ce moment transgressif, en suspens, va faire surgir un avant et un après pour chaque membre de l’équipage. Et si cette irruption du mystère dans la routine de la vie à bord d’un cargo offrait à chacun la possibilité de trouver sa place sans donner place au pouvoir.

REDACTION

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