Une version papier ITVB disponible en librairie ou achat possible en numérique sur www.editions-cairn.fr

ICI tout va bien

Pour ce dernier numéro de l'année, ITVB propose d'aller au-delà de son territoire à la rencontre de la presse papier alternative. En France, il existe une centaine de périodiques –mensuels ou trimestriels - répondant à une demande d'information moins centrée sur Paris, plus critique en local, plus représentative de ce que les gens vivent en ruralité ou en ville... Notre démarche, non exhaustive, a privilégié les médias réalisés par des journalistes et ceux qui utilisent les mêmes méthodes : l'enquête, l'investigation, le contradictoire et qui pour cela prennent le temps. Ces journaux sont souvent à visée locale avec des thématiques fortes mais peuvent être aussi généralistes à focale nationale. Tous marquent un lien fort avec leur lectorat qui parfois participe au comité de rédaction, tandis que d'autres lecteurs assurent une veille sur le territoire faisant remonter des sujets, des inquiétudes... ils peuvent aussi écrire, et dans ce cas-là, le journal veille à ce que l'article réponde aux exigences journalistiques. L'expérimentation a aussi sa place quand l'approche se veut géographique et  lorsque la méthode emprunte  l'art de l'enquête à travers des récits citoyens... Vraiment, une Presse Pas Pareille qui a donné son nom à un Syndicat, le SPPP (voir art. en bas de page), dont la majorité des médias interviewés sont adhérents et qui défend ce choix de l'indépendance, rappelle cet intérêt des lecteurs pour un vrai journalisme et la nécessité d'une presse alternative aujourd'hui et demain.
Bonne lecture, bonnes fêtes... On se retrouve en 2026 avec un projet de festival sur les forêts et leurs représentations.


Sarrant | 32

Les contes et autres histoires enfantines font du loup le grand méchant … Dans cette « fable » où son rôle est primordial, il apparaît ni bon ni mauvais mais utile à l’équilibre de l’écosystème de l’île. Inspiré d’une histoire vraie, le récit aux allures de documentaire, fera à coup sûr changer l’imaginaire du loup auprès des jeunes et moins jeunes lecteurs.

Comme prévu, ITVB revient après une pause de trois mois née d’une volonté d’évoluer, de se questionner en se rapprochant pour cela des lecteurs qui ont joué le jeu et permis ainsi d’enrichir la réflexion* souhaitée.  

Évoluer, ce n’est pas tout changer comme vous allez le lire, c’est repenser au positionnement de la Lettre qui avait démarré en 2017, c’est tendre l’oreille à ce qui nous entoure, c’est ouvrir toujours et encore nos horizons, laisser aller notre envie de faire avec, de vous donner envie d’aller sur le site, mais c’est aussi se parer de quelques atours, de couleurs, afin de se mettre ainsi sur son 31. (Tiens ! c’est  le numéro de mars)

En partant en quête pour ce numéro à la rencontre d’hommes et de femmes, de collectifs, de collectivités, l’évidence était là : choix de vie, envie de faire autrement, énergie à transformer, à porter la voix, à renouer avec le vivant. ITVB se devait d’apporter la même intensité d’éclairage à travers la mise en avant de ces récits, elle le fait en créant de nouvelles rubriques, en s’interrogeant sur un demain qui se voudrait être aujourd’hui, en se rapprochant de partenaires positifs « des ondes » …
Vous informer bien sûr et donner également les clés à ceux et celles qui veulent agir, car vous l’avez souhaité aussi en tant que lecteurs.
Le printemps des poètes est là, avec lui Henri Gougaud et les mots empruntés à son dernier ouvrage : « Le but n’est pas d’être meilleur, souvenez-vous bien de cela. Il est de devenir vivant, de plus en plus intensément. » Bonne lecture. Vos retours seront les bienvenus.

Résumé compte rendu questionnaire, cliquer ici.


 

Nailloux | 31

Qu’est ce qui peut faire « basculer » un cargo de marchandises ? La météo ? Un accident ? Non, une baignade en mer autorisée par sa commandante. Ce moment transgressif, en suspens, va faire surgir un avant et un après pour chaque membre de l’équipage. Et si cette irruption du mystère dans la routine de la vie à bord d’un cargo offrait à chacun la possibilité de trouver sa place sans donner place au pouvoir.

REDACTION

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