ICI tout va bien

Y’a de la joie ! de la détermination et de l’écoute dans les initiatives proposées dans le numéro N° 51. Autant de sources d’énergie permettant à quelques personnes d’embarquer avec eux, un groupe, des partenaires, des militants, des habitants, des financeurs, des élus… dans un projet ou un scénario qui n’était pas gagné d’avance.
Pour ces associations, coopératives, entreprises sociales et solidaires, Compagnie de danse… l’idée part souvent d’un lieu, que l’on ne veut pas voir disparaître, levier déterminant dans ces récits, mais elle s’accompagne toujours de l’écoute recueillie auprès des habitants d’un territoire, de son histoire et d’observations. La vie sur place, l’immersion sont essentielles. « Ailleurs », on n’oublie pas les petites recettes, même si elles ont été distillées par ses grands-parents…
Au final, y aurait-il des conditions propices pour mobiliser sur le temps long ? Un peu tout de même, à lire notre rubrique - C’est pour aujourd’hui ou C’est pour demain ? - La réponse permet de rester optimiste sur l’engagement aujourd’hui.
Elle est à rapprocher du conseil de l’un de nos interlocuteurs qui dit avec humour et sincérité : « Je donne souvent comme conseil de ne pas trop réfléchir, il faut accueillir la part d’inconnu dans un projet et ne pas vouloir tout ficeler d’avance, la vie est courte ! »
Bonne lecture.


Sarrant | 32

Les contes et autres histoires enfantines font du loup le grand méchant … Dans cette « fable » où son rôle est primordial, il apparaît ni bon ni mauvais mais utile à l’équilibre de l’écosystème de l’île. Inspiré d’une histoire vraie, le récit aux allures de documentaire, fera à coup sûr changer l’imaginaire du loup auprès des jeunes et moins jeunes lecteurs.

Comme prévu, ITVB revient après une pause de trois mois née d’une volonté d’évoluer, de se questionner en se rapprochant pour cela des lecteurs qui ont joué le jeu et permis ainsi d’enrichir la réflexion* souhaitée.  

Évoluer, ce n’est pas tout changer comme vous allez le lire, c’est repenser au positionnement de la Lettre qui avait démarré en 2017, c’est tendre l’oreille à ce qui nous entoure, c’est ouvrir toujours et encore nos horizons, laisser aller notre envie de faire avec, de vous donner envie d’aller sur le site, mais c’est aussi se parer de quelques atours, de couleurs, afin de se mettre ainsi sur son 31. (Tiens ! c’est  le numéro de mars)

En partant en quête pour ce numéro à la rencontre d’hommes et de femmes, de collectifs, de collectivités, l’évidence était là : choix de vie, envie de faire autrement, énergie à transformer, à porter la voix, à renouer avec le vivant. ITVB se devait d’apporter la même intensité d’éclairage à travers la mise en avant de ces récits, elle le fait en créant de nouvelles rubriques, en s’interrogeant sur un demain qui se voudrait être aujourd’hui, en se rapprochant de partenaires positifs « des ondes » …
Vous informer bien sûr et donner également les clés à ceux et celles qui veulent agir, car vous l’avez souhaité aussi en tant que lecteurs.
Le printemps des poètes est là, avec lui Henri Gougaud et les mots empruntés à son dernier ouvrage : « Le but n’est pas d’être meilleur, souvenez-vous bien de cela. Il est de devenir vivant, de plus en plus intensément. » Bonne lecture. Vos retours seront les bienvenus.

Résumé compte rendu questionnaire, cliquer ici.


 

Nailloux | 31

Qu’est ce qui peut faire « basculer » un cargo de marchandises ? La météo ? Un accident ? Non, une baignade en mer autorisée par sa commandante. Ce moment transgressif, en suspens, va faire surgir un avant et un après pour chaque membre de l’équipage. Et si cette irruption du mystère dans la routine de la vie à bord d’un cargo offrait à chacun la possibilité de trouver sa place sans donner place au pouvoir.

REDACTION

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