Comme prévu, ITVB revient après une pause de trois mois née d’une volonté d’évoluer, de se questionner en se rapprochant pour cela des lecteurs qui ont joué le jeu et permis ainsi d’enrichir la réflexion* souhaitée.
Évoluer, ce n’est pas tout changer comme vous allez le lire, c’est repenser au positionnement de la Lettre qui avait démarré en 2017, c’est tendre l’oreille à ce qui nous entoure, c’est ouvrir toujours et encore nos horizons, laisser aller notre envie de faire avec, de vous donner envie d’aller sur le site, mais c’est aussi se parer de quelques atours, de couleurs, afin de se mettre ainsi sur son 31. (Tiens ! c’est le numéro de mars)
En partant en quête pour ce numéro à la rencontre d’hommes et de femmes, de collectifs, de collectivités, l’évidence était là : choix de vie, envie de faire autrement, énergie à transformer, à porter la voix, à renouer avec le vivant. ITVB se devait d’apporter la même intensité d’éclairage à travers la mise en avant de ces récits, elle le fait en créant de nouvelles rubriques, en s’interrogeant sur un demain qui se voudrait être aujourd’hui, en se rapprochant de partenaires positifs « des ondes » …
Vous informer bien sûr et donner également les clés à ceux et celles qui veulent agir, car vous l’avez souhaité aussi en tant que lecteurs.
Le printemps des poètes est là, avec lui Henri Gougaud et les mots empruntés à son dernier ouvrage : « Le but n’est pas d’être meilleur, souvenez-vous bien de cela. Il est de devenir vivant, de plus en plus intensément. » Bonne lecture. Vos retours seront les bienvenus.
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