Pour ce dernier numéro de l’année, ITVB rend compte de récits qui par leur pouvoir à imaginer, relier, s’émerveiller ouvrent de nouveaux horizons.
Tous, sans oublier les réalités économiques, ont fait le pas de côté qui donne à leur projet une dimension sociale, solidaire, humaine ou écologique.
Ainsi, quand ils parlent d’habitat, ils le relient à la prise de pouvoir du citoyen ; quand le projet aborde la santé, ils imaginent un lieu tourné vers la prévention et l’ouverture, lorsqu’elles parlent de culture, celle-ci est reliée à une ambition sociale et écologique. Quand la lutte s’avère utile, elles la pensent avec émerveillement en chansons…
Pour chacune, chacun, l’envie de cultiver l’émerveillement est là, indispensable aujourd’hui, rejoignant la pensée de l’écrivaine Belinda Cannone, qui dans son interview ci-dessous, confie : « … être disposé à éprouver l’émerveillement, cela veut dire regarder, se rendre présent au monde. Si on est dans cette disposition intérieure et si on va à peu près bien, car le malheur ne nous rend pas attentif à l’extérieur, alors tout à coup l’oreille ou l’œil capte une lumière qui tombe sur un mur et ce qui est banal devient autre…»
Bonne lecture. Bonnes fêtes.
La Lettre
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